mardi, août 23, 2005

DTC

Il est des jours comme ça où l'on regrette la bonne administration française...

Parce que voilà, pour voyager en tramway ou en métro dans Prague, c'est assez ruineux. Bon, ok, aucun rapport avec notre ticket de métro à 1,40€ mais quand même, on se rend vite compte que c'est un gouffre pire que les brasseries.
Donc il faut une carte. Etudiant, de préférence. Mais décidément, quand on est étranger à Prague, on raque. Urssaf, Cancras et Carbalas diraient "on te pompera jusqu'au tronc": c'est à peu près ça. Donc quand on est étranger, pour la carte, il ne faut pas se contenter d'un certificat de scolarité, il faut en outre une carte internationale d'étudiant, qui ne me sera délivrée que... en octobre, à l'Université Charles. Et ce même si mon certificat de scolarité donné par l'université confirme que je suis étudiant à partir de maintenant.
bref, c'est la grosse joie.

D'autant plus que, je ne sais pas si vous vous souvenez, mais j'avais fait débloquer mon portable. Au moment de le donner au service de portables, on nous a dit "bon, votre portable est un peu trop moderne pour nous, donc on ne sait pas si on pourra vous le débloquer, mais si on y arrive pas, on vous rembourse."
Donc je le donne, ils me le rendent le lendemain, et hier, alors que je prenais ma carte téléphonique chez Oskar (le Vodafone du coin), paf, surprise, le portable n'est pas débloqué. Donc on est énervé, d'autant plus que la fille d'Oskar nous dit que ça prend deux minutes à débloquer, et pas une nuit. Je me suis donc fait arnaqué de 400 couronnes...
Le service à portables n'était tout de même pas trop malhonnête, ils nous ont fait l'aumône de nous reconnaître et de nous rembourser. Mais je n'ai toujours pas de possibilité de téléphoner tchèque.

Grrr...

Dans cette journée pourrie, quelques rayons de soleil néanmoins; nous sommes invités par Alice à Olomouc (à la frontière entre la Bohème et la Moravie) mercredi, pour deux-trois jours, et Arthur planifie une petite visite rue Polska avec Laure et Pierre-Nicolas.

Gnarf.

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