Le jour se lève sur Prague.
Il est 8h.... Prague est levé. Bon, pas nous, mais Prague oui.
Vers 10h, c'est bon, on peut décider de se lever d'un pied ferme et matinal. Petit déjeuner en bonne et due forme, puis, inévitablement, une petite ballade vers le château, accompagnés d'Adam, un pote d'Olga, qui s'y connaît vachement bien dans l'histoire de sa ville, ce que l'on ne saurait considérer comme négligeable.
Nous nous donnons rendez-vous en bas de la colline de Petrin, puis nous prenons le Tramvaj 23 qui monte vers le château, en fait quelque peu le tour, et nous pose tranquillement non-loin de Notre-Dame de Lorette. Le baroque flamboyant étant complètement plus que roccoco dans les pays d'Europe de l'Est, et encore plus à Prague, je décide qu'il faut qu'on entre dedans. Parce que la chapelle du cloître est tout de même à voir... Enchevêtrements de marbres de toutes couleurs, dorures à n'en plus pouvoir, puttis à profusion et plafonds représentant le classique ciel gouverné par Dieu.
Nous sortons. Descendons vers le château, et nous entrons par la porte principale, sauvagement gardée par Hercule à la masse et son pote au couteau. Devant le château, Thomas G. Masaryk nous regarde. Entre grands hommes, on se comprend.
Nous passons par Saint Guy, admirer le vitrail de Mucha (pour les nabots, prononcez Murha), et nous promenons ensuite tranquillement à travers la Mala Strana, jusqu'à Saint Nicolas de la Mala Strana, qui est fermée, et nous permet donc de passer doucement devant le Jo's bar, puis d'aller dans un petit café savourer un chocolat bien mérité. "La place de la vieille ville était vide... devant moi marchait Adam. Il avait un joli nom mon guide...." bref, c'est pas le café Pouchkine, mais la tapenade n'y est pas mauvaise.
Après quelques tergiversations, nous rentrons chez olga pour diner, des crêpes. Emilie, toute normande qu'elle est, est aux fourneaux, et nous attendons comme des princes d'être servis.
La mère d'Olga accomptagne Clément retrouver Sophie, chez qui il va dormir, puis Adam Olga et moi allons promener le chien, voir les maisons cubistes de Chochol (pour les nabots, prnoncer Rhorhol), puis nous laissons Adam partir, et nous revenons à la maison, ou nous pouvons discuter en tchékanglais avec la mère d'Olga, de choses et d'autres, de "La Chute" à nos familles.
Allez, au dodo. Comme vous le verrez dans le prochain opus, le quatrième jour sera chargé...
Il est 8h.... Prague est levé. Bon, pas nous, mais Prague oui.
Vers 10h, c'est bon, on peut décider de se lever d'un pied ferme et matinal. Petit déjeuner en bonne et due forme, puis, inévitablement, une petite ballade vers le château, accompagnés d'Adam, un pote d'Olga, qui s'y connaît vachement bien dans l'histoire de sa ville, ce que l'on ne saurait considérer comme négligeable.
Nous nous donnons rendez-vous en bas de la colline de Petrin, puis nous prenons le Tramvaj 23 qui monte vers le château, en fait quelque peu le tour, et nous pose tranquillement non-loin de Notre-Dame de Lorette. Le baroque flamboyant étant complètement plus que roccoco dans les pays d'Europe de l'Est, et encore plus à Prague, je décide qu'il faut qu'on entre dedans. Parce que la chapelle du cloître est tout de même à voir... Enchevêtrements de marbres de toutes couleurs, dorures à n'en plus pouvoir, puttis à profusion et plafonds représentant le classique ciel gouverné par Dieu.
Nous sortons. Descendons vers le château, et nous entrons par la porte principale, sauvagement gardée par Hercule à la masse et son pote au couteau. Devant le château, Thomas G. Masaryk nous regarde. Entre grands hommes, on se comprend.
Nous passons par Saint Guy, admirer le vitrail de Mucha (pour les nabots, prononcez Murha), et nous promenons ensuite tranquillement à travers la Mala Strana, jusqu'à Saint Nicolas de la Mala Strana, qui est fermée, et nous permet donc de passer doucement devant le Jo's bar, puis d'aller dans un petit café savourer un chocolat bien mérité. "La place de la vieille ville était vide... devant moi marchait Adam. Il avait un joli nom mon guide...." bref, c'est pas le café Pouchkine, mais la tapenade n'y est pas mauvaise.
Après quelques tergiversations, nous rentrons chez olga pour diner, des crêpes. Emilie, toute normande qu'elle est, est aux fourneaux, et nous attendons comme des princes d'être servis.
La mère d'Olga accomptagne Clément retrouver Sophie, chez qui il va dormir, puis Adam Olga et moi allons promener le chien, voir les maisons cubistes de Chochol (pour les nabots, prnoncer Rhorhol), puis nous laissons Adam partir, et nous revenons à la maison, ou nous pouvons discuter en tchékanglais avec la mère d'Olga, de choses et d'autres, de "La Chute" à nos familles.
Allez, au dodo. Comme vous le verrez dans le prochain opus, le quatrième jour sera chargé...
4 commentaires:
j'ai pas compris... c'est qui ce adam que tu promenes tout le temps ? Est-il au moins solidaire ... si tu vois ce que je veux dire ?
Adam est un très bon ami d'Olga.
Mais, tr-s cher Anonymous, je ne vois pas ce que tu veux dire... gnarf?
ce serait juste pour signaler que gloabalement, c plutot adam qui nous promène que l'inverse... et c plutot sympa de sa part d'ailleurs (merci Adam, et pardon pour la grippe que tu as choppé au passage). et aussi, c paradoxal de dema,der qui est quelqu'un en oubliant de se présenter... ?
ah oui, au fait, moi c émilie.
Et puis Adam d'abord il a une très jolie coiffure.
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