Un jour comme ça

Aujourd'hui, Olga a du se réveiller bizarrement, dans un appartement jonché de choses et d'autres, des taches ici ou là. Hier soir, Olga avait quelques heures d'avance pour fêter son anniversaire.

Quand je l'ai appelée, ça battait son plein, son plein de bruit, de cris, de brouhaha, de gens. Comme je suis un grand romantique d'au moins 1m70 j'ai attendu d'être sur le Pont Charles pour l'appeler. J'allais tout de même pas monter sur Petrin (colline des amoureux) pour le faire: je me suis donc contenté de l'endroit où, vers 23h30, les touristes commencent à ne plus être très nombreux.

En l'appelant je me suis dit que c'est la deuxième fois que je lui souhaite un joyeux anniversaire, amoureux d'elle en plus. ça m'a fait drôlement plaisir de m'apercevoir que depuis ce temps elle n'a toujours pas découvert quel genre d'hypocrite je suis, qui souhaite un bon anniversaire à sa copine, une bonne vingt-et-unième, puis une bonne vingt-deuxième année, uniquement parce qu'il espère qu'elle sera bonne aussi pour lui.
Et oui, calcul: une bonne année pour Olga avec moi = une bonne année pour moi.


Tak, Olgo, milacku, ja me poprat jeste jeden krat hezky novy rok pro tebe. Ty jsi zlata a bez mu princeznu, mozna nebyl bych jako jsem tedka. A rikej me jestli jsou tady chyby. Nebo jestli delam chyby, ale ne v cestine...